Les habitants de trois villages, c’est-à-dire, Mesareas, Karadou et Kouroupadou, sont morts ou ont émigré en raison d’ une épidémie de peste environ à la moitié du XVIIe siècle. Tarampados est le dernier village qui a été construit sur l’île. Fichier des enquêtes des catholiques nous assurent que le village a commencé à être construite dans la seconde moitié du XVIIe siècle et a été terminé au début du 18e. L’absence de rapports dans ce village tout au long de la période précédente, en combinaison avec les références multiples dans une nouvelle dans la région, Potamos ( Rivière), qui n’existe plus, nous assurent qu’un événement tragique a forcé les habitants de quitter leur établissement pour construire un autre nouveau un peu plus haute. Nous n’avons aucun témoignage particulier si cette transplantation est due à l’épidémie ou invasion, mais il doit avoir été massive. Potamos n’est plus répertorié, sauf dans une zone rurale. Tarampados doit son nom, qui existe jusqu’ aujourd’hui, au nom familialle de“Tarampas” qui était probablement un propriétaire terrien de la région (p. Marcos Foskolos,. o.p, 6-7).
Le père Marcos Foskolos à son plus récente annonce pour les villages ci-dessus (Tinos hors les murs : les parties basses, 43 – 57) se réfère à la disparition des Mesareas le 1728, de dernier déplacement des résidents de Karadou en 1753 au village Xinara » et d’intégrer du Potamou dans une paroisse du Smardaϊto en 1642 et déplacement graduel des habitants au milieu du 18e siècle avec la création simultanée de Tarambados.
En même temps sur la base de documents écrit il note un testament écrit en 1769 à Kouroupado en raison de la peste et le montage encastré des malades, à qui on a laissé une petite ouverture pour recevoir la nourriture et l’eau pendant qu’ils étaient vivants