La préexistence du temple du Saint Charalampos ou son édification, à ce temps-là a marqué les limites symboliques de l’empêchement du mal,

ainsi que sa vénération parmi les habitants, surtout les orthodoxes, a connu une réputation importante, qui même vers la fin de 19e siècle jouisse d’un honneur spécial auprès des habitants orthodoxes de Falatados, de Chatzirados, de Ktikados et de Tripotamos.

Sur l’icône honorée à son nom, Saint Charalampos se représente dans le centre, intégral, couvert d’argent, entouré de 14 scènes de sa vie entière. Peu nombreux d’ex-votos, mais bien remarquables, sont suspendus sous l’icône et restituent surtout des animaux (des chevaux, des vaches, des chèvres, un porc et un mouton), qui témoignent du caractère agricole des pèlerins, lesquels y recouraient pour demander sa grâce.

Il est important, également, de noter la culture spéciale de l’artichaut déjà en 1950 dans le jardin de l’église, qui comprenait en même temps des figuiers. Tous les deux complétaient les très faibles revenus de l’église.

En conséquence, le saint comme « pilier inébranlable et veilleuse lumineuse du monde entier » se trouvait à habiter dans les champs de Tarampà, loin, désormais, de pestes et d’épidémies, en offrant du pakalago, (= la morue), tous les ans, le 10 février, jour de sa fête, tandis que les pigeons de la plaine, lui rendent visite tous les jours.

Édition du texte, Marianna Kritikou.

Le texte a été basé sur l’étude-recherche de Char.Koutelaki, docteur en Archéologie- histoire « Saint Charalampos de Tarampados de Tinos »

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